Collection Histoire Courte. Marie LInfirmière Et Johnny Le Dépravé (1/1)
Mon histoire est somme toute banale.
Une jeune infirmière jolie, mais sans plus.
Ça fait deux ans que jai terminés mes études dinfirmière et que jai été nommé dans lhôpital de notre ville.
Je rejoins le secteur où des patients arrivent souvent après des excès.
À 20 ans comme on dit jai déjà plusieurs fois connu le loup.
La première fois, le souvenir men a été cuisant.
Cétait deux jours après mon entrée à lécole dinfirmières.
Ça sest passé dune façon très romantique dans la chambre de Guy qui venait de me séduite.
Romantique dans le principe, javais eu le coup de foudre, mais le fer rouge quil ma enfoncé dans la chatte me faisant horriblement mal aurait pu me vacciner définitivement de recommencer avec un garçon.
Jen ai parlé au docteur Duval, lun de nos professeurs.
Cest dans son bureau sur un lit lui servant afin de dormir un peu pendant ses gardes quil ma démontré que le sexe pouvait être très sympathique, une fois lhymen de la jeune fille éclaté.
Il en a profité pour me donner un cours de physiologie sur la femme.
Pour cela malgré ses plus de 50 ans, il a enlevé une à une mes affaires, ma sorti son sexe plus gros que celui de Guy que javais vu une fraction de seconde avant que je hurle de douleur.
Cette première fois, car il y en a eu plusieurs, il sest contenté de me faire mettre à quatre pattes et de menfiler me faisant vibrer rapidement.
Il faut dire que je me suis aperçu que jétais loin dêtre la seule à avoir affaire à des problèmes de douleurs.
Régulièrement il nous convoquait au gré de ses envies pour nous donner des cours particuliers.
Par chance, ladministration a eu vent de ses façons de pratiquer avec ses jeunes infirmières par Claudette, ce plaignant de certains de ses agissements.
Pas de chance, le docteur Duval a voulu la sauter, ignorant que sétait uniquement une suceuse de founes.
Il a été déplacé et Claudette a continué à être pucelle des hommes.
Il faut dire que si je suis jolie, mais sans plus, on peut dire que je suis loin dêtre un laideron.
Mais chaque chaussure droite trouve sa chaussure gauche.
Quand avec Olga, Loula, la fille des gérants de la superette sest mise en couple avec elle, elles étaient bien assorties.
Elle ignorait quelle était lesbienne et quelle était faite pour sucer des chattes.
Chaque chaussure doit savoir si elle est mocassin, basket ou de ville.
Si ces types de chaussures veulent se faire séduire par une botte ou toute autre forme de chaussures différentes, vous courrez immanquablement à léchec.
Elles sétaient, elles étaient faites pour sassembler.
Jai failli dire pour semboiter, la langue suffit-elle ?
Lesbiennes, jai essayé un jour avec Liliane, une veille copine.
Peste, pour moi, du temps où nous usions nos culottes en coton sur les bancs de lécole.
Cétait à la fin de notre première année décole dinfirmières.
Jétais en vacances chez ma grand-mère près du Puy Marie en Auvergne.
Il y avait un petit étang, non loin de chez elle,
Vu la chaleur javais pris lhabitude de venir me baigner et de me faire bronzer nue, le coin étant isolé, du moins je le croyais.
Cest le deuxième jour que jai entendu que lon me parlait.
Jai levé les yeux et dans le soleil placé derrière elle, je voyais sa fourche.
Je lai reconnu.
Quand javais dix ans et pendant quatre ans ma grand-mère mavait gardé pendant que maman refaisait sa vie après la désertion de papa.
Pour Fred, son amant, jétais de trop dans son paysage faite de baise et de fête.
Grand-mère a été la solution à leurs débordements, mais il y avait Liliane qui ma fait une vie impossible.
Par chance maman a quitté Fred et comme je lui manquais, je suis retournée en ville près de Paris.
Comme, jétais nue, elle ma imité me montrant que de la jeune adolescente plutôt garçon manqué sétait un peu développé.
Jai rapidement eu plaisir à lui sucer les seins pendant quelle me caressait le vagin.
Elle avait déjà pratiqué, les plaisirs dits défendus et à la fin de lété jétais une chaussure à double semelle.
Bref, jétais bisexuelle aimant autant les chattes que les verges sans pour autant en r.
Pour le prouver, dès mon retour à lécole dinfirmières, jai eu comme amant un voisin de chambre garçon pas très doué et à qui jai rapidement dit daller planter son poireau ailleurs.
Et puis il y a ce matin quand je prends mon service avec Laétitia et Pauline.
Pauline est notre responsable avec ses 30 ans dexpérience.
Nous relevons trois autres infirmières avec Maria qui nous explique la nuit.
À une heure, jallais aller mallonger quand le SAMU nous a amené un garçon dune quarantaine dannées ayant fait des excès en tout genre.
Dommage que je sois fidèle à Tonio, je lui aurais bien fait un bout de causette en tête à tête.
La quarantaine, cheveux poivre et sel, je le rencontre quand je fais les prises de température.
Il dort après les sédatifs que le médecin de garde lui a administrés.
Depuis que jexerce, la prise de température va vite.
Ladministration nous a pourvu de lecteur électronique que nous posons sur le front des malades lisant directement le résultat.
Il sent quand je le touche et ouvre les yeux.
Bonjour beauté fatale.
Vous vous moquez, cest leffet des médicaments.
À tout à lheure.
Nous avons fait les examens, adapté un traitement et malgré la limitation du temps des patients dans les lits le docteur souhaite quil reste pendant quelques jours.
Cest au moment où il y a eu lautorisation de visite que le défilé a commencée.
On aurait dit que toutes les salopes des alentours sétaient donné rendez-vous dans notre hôpital.
Brune, blonde souvent, même rousse, sont venues le visiter.
Des paquets de femmes qui toutes semblaient ignorer la jalousie.
Jai rapidement compris que javais affaire à un sérial baiseur qui accumulait sans vergogne les conquêtes féminines.
Pendant une visite des chambres, au deuxième jour, jai vu la rousse collée à son lit se faisant caresser la chatte.
Vu le mouvement, il était profondément en elle.
Elle devait être venue la craquette à lair espérant quil lui ferait ce quil lui faisait.
Javais frappé, mais elle était tellement à son plaisir que Johnny me regardait fixement avec un petit rictus en disant long sur qui il était.
La rouquine a mordu son poing au moment où elle jouissait.
Jai attendu quelle reprenne un peu pied sur terre, jai refrappé et je me suis approché du couple.
La belle jeune femme était rouge de confusion, ignorant si je les avais vus.
Et puis, il y a eu la nuit suivant.
Jaurais dû être de repos, mais nous faisions souvent des remplacements de copine.
Cétait le cas ce soir-là.
Je faisais la tournée de sécurité.
Johnny savait que jétais là ayant frappé.
Jai vu ses paupières se refermer.
Lorsque jai approché avec mon thermomètre, jai vu quil avait repoussé son drap afin que je voie sa verge au repos.
Un monstre de verge, un truc énorme mieux que Rocco, des films X que je regardais discrètement dans ma jeunesse sur Canal.
Cétait le conard de ma mère qui sétait abonné, à ses frais bien sûr, pour un an passionné du club de Marseille alors que je supporte le PSG.
On comprend notre mésentente.
Mais grâce au Replay, dans la journée, je trainais sur le canapé à me caresser la chatte.
Cétait ma dernière chambre et je savais mes copines à lautre bout du couloir, car elles prenaient la tension et donnaient les médicaments pour la nuit, ce qui était plus long.
Je lai prise dans ma main, sachant bien quil faisait semblant.
Suce salope, jai vu que tu avais un regard de vicieuse quand je doigtais Maria, la rousse.
Bien sûr, je lai fait, à sa sortie, je suis devenue sa favorite dès que le médecin la libéré.
Cest chez lui quil ma emmené sur sa grosse moto quun copain avait déposée sur le parking de lhôpital.
Jaurais dû me méfier dêtre un numéro dans la liste des pétasses baisant avec lui. Mais il faut croire que javais du chien, car ça faisait trois mois quil me sortait partout semblant me couver du regard alors que dautres salopes recherchaient sa présence.
Je loupais, mes tours de service de plus en plus souvent étant même convoqué chez le médecin-chef pour quil essaye de trouver doù venaient mes migraines fulgurantes et répétitives.
Si quelquun en connaissait la source, cétait moi et surtout la queue de Johnny que javais du mal à quitter et qui me faisait jouir chaque fois que je la faisais entrer dans ma chatte ?
Johnny était inventif côté sexe, tout lieu, toute position lui permettait de me sauter fougueusement, entrainant des orgasmes dévastateurs.
Et puis il y avait les jours où il partait son sac à dos sur les épaules.
Jaimais lui attacher son casque intégral après un baiser fougueux.
Écarte tes cuisses que je te baise.
Écarte tes cuisses que je te baise.
Écarte tes cuisses que je te baise.
Écarte tes cuisses que je te baise.
Ça correspond aux quatre fois ou jai fini par comprendre que Johnny avait braqué une banque ou une bijouterie.
Cest cette quatrième fois que jai vu ce que jétais censé ignorer, comment il pouvait me sortir dans les meilleurs endroits de loisir de la capitale, craquant des masses de fric.
Jétais officiellement chez mon esthéticienne, mais elle mavait envoyé un message que mon rendez-vous était repoussé.
Jai vu Johnny sortir de son sac à dos un paquet de bijoux et lhomme sortir dun sac une grosse liasse de billets.
Je regardais la télé quand jai entendu lhomme partie et me rejoindre.
Jétais dans ses bras quant aux infos, que je regardais rarement, ils ont parlé du braqueur à la moto noir avec un casque noir.
Il a bien fallu quil mavoue.
La façon dont il me baisait à son retour me faisant atteindre le nirvana me montrait le degré dadrénaline quil emmagasinait dans cette période dun braquage.
Johnny, le prochain casse, je le fais avec toi.
Quand tu te fais une bijouterie, je suis sûr que tu laisses des vitrines où nous pourrions gagner beaucoup plus en une seule fois.
Tu prendrais moins de risque, car je te couvrirais.
Samedi 3 octobre 15 heures, une bijouterie rue de Passy.
Je saute de la moto la peur au ventre dans ma combinaison et mon casque noir.
Je suis Johnny et nous entrons arme à la main.
Cest vrai que la peur démultiplie mes sensations et en rentrant, je serais à lunisson de mon amant quand il me baisera fougueusement marrachant ma combinaison dès que nous serons dans lascenseur.
Le coup part, jai dû me tromper de flingue en partant, celui que je devais avoir en main était un faux très bien imité.
Comme au ralenti la femme du patron sest écroulée raide morte, ma balle lavait frappée en plein milieu du front.
Histoire banale, dune jeune infirmière qui tombe amoureuse du type quelle aurait dû éviter.
Histoire dune infirmière qui se retrouve à la prison pour femmes de Poitiers à soccuper du service médical en attendant le nombre dannées où elle va être enfermée.
Je suis à Poitiers et Johnny comme si ça avait été écrit est à la prison de la Santé.
Jai une petite compensation grâce à ma position.
Je broute les chattes de mes congénères lorsquelles viennent pour des soins
De plus, je me fais sauter par le médecin affecté à notre prison.
Ce médecin, cest Georges, mais si Georges Duval mon professeur à lécole dinfirmières, cest là quil a été déplacé.
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